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 SK's interviewed by john irving.

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Ben Mears
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MessageSujet: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptySam 2 Juil 2005 - 12:59

désolé, c'est une interview que j'ai trouvé par hasard, et c'est en vo.
(par contre qu'est-ce qu'il a vieillit le king, sur les photos...)

http://www.manchesterjournal.com/default.asp?Action=ShowArticle&articleid=71240
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Carrie
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptySam 2 Juil 2005 - 13:12

Merci pour le lien ! Malheureusement, j'y comprends rien Sad
Si une bonne âme avait le temps (je suis consciente que c'est assez long Confused ) pour traduire cette interview, ce serait vraiment super Very Happy
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptySam 2 Juil 2005 - 15:52

oui, effectivement il a pris un sacré coup de vieux sur la photo, son visage est même bizarre on dirait que la peau de son visage est comme figée , mais bon de sa tête on s'en fout un peu, ce qui compte c'est ce qu'il écrit.....
par contre il faudrai que quelqu'un de bilingue nous traduise un peu l'interwiew... tongue10
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptySam 2 Juil 2005 - 19:42

Ouais, il a drôlement vieilli!
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Ben Mears
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyDim 17 Juil 2005 - 17:10

Il a vieilli ok, mais pour quelqun qui approche de la soixantaine, je trouve que ça va encore. N'oublions pas qu'il s'est remis, depuis peu de temps, d'un grave accident.

Voici une traduction "maison" de l'article. J'ai essayé de faire ça assez rapidement, et je ne l'ai pas fignolé, aussi y a-t-il certainement quelques erreurs et aproximations. De plus je le met en deux messages sinon ça passe pas (message trop long).


Stephen King et John Irving donnent au journal de Manchester un rare interview croisé et parlent des fondations de charité, des critiques et des manuscrits perdus.

EXCLUSIVITÉ AU JOURNAL DE MANCHESTER
Par Sarah M. Grant
Directrice de la rédaction

MANCHESTER - j'ai eu une enfance heureuse, je suis la première à l'admettre. Mes parents croyaient fortement aux valeurs d'une éducation variée, et avaient les moyens de la réaliser. Ayant grandi dans une toute petite banlieue nord de Pittsburgh, il y avait là un certain nombre d'écoles voisines tout à fait correctes que j’aurai pu fréquenter, mais mes parents choisirent de m'envoyer dans une école privée du centre ville. Cette décision forgea la personne que je suis devenu à l’âge adulte. Une forte orientation sur le respect, la tolérance et l'égalité sociale servit à former chaque étudiant de ma petite école. On nous a enseigné à estimer les mots plutôt que les vêtements, à apprécier l'art plutôt que les voitures, et à étudier l'histoire plutôt que la télévision..

J'ai aimé mon école pour cela, et le soutien que j'ai reçu lors de mes cours d’anglais m'a poussé à poursuivre une carrière dans l'écriture. J'étais chanceuse, parce que mes parents avaient le choix d'où m'envoyer. Mais il y avait beaucoup d'étudiants dans mon école qui n'aurait jamais pu suivre ces classes sans aide financière sous forme de bourses. Il est amusant de me retrouver moi-même quelques décennies plus tard, un après-midi de fin d'été à l'école de Maple Street à Dorset, discutant de l'importance des écoles privées, des Oeuvres charitables, et de l'art de l'écriture avec deux des romanciers les plus célèbres dans le monde.

John Irving est l'auteur de 11 livres, dont son best-seller international et finaliste de l’American Book Award (maintenant National Book Award), "The World According to Garp," aussi bien que "The Hotel New Hampshire," "A Prayer for Owen Meany," "A Son of the Circus," "A Widow for One Year," et "The Fourth Hand." En 1999, Irving a gagné une récompense d'académie pour son scénario "The Cider House Rules," basé sur son livre du même nom.

Cet été, son dernier roman, "Until I Find You" sortira, et traite d’événements de vie très personnels dont Irving n'avais jamais parlé publiquement auparavant.

Stephen King a écrit plus de 40 livres, et est considéré comme le romancier qui s’est vendu le plus au monde. En 1994, King gagna un O. Henry Award pour son histoire courte, "The Man in the Black Suit," en 2003 il reçut la récompense d'accomplissement de vie par the National Book Awards. Il a récemment terminé le septième et dernier roman de son opus gigantesque de 20 ans, la série " La tour sombre". Perpétuel supporter des Red Sox, King s’associa l'automne dernier avec Stewart O'Nan pour écrire "Fidèles : la chronique de la saison 2004 historique par deux irréductibles fans des Red Sox."

Cette automne, King sortira un roman policier de l’époque années 40 intitulé "The Colorado Kid." Le 24 Juin, King a fait une rare apparition d'invité à l'école de Maple Street pour lire un passage d'un autre prochain roman intitulé, "Lisey's Story."



"Une soirée avec Stephen King" a réunit près de $40.000, et était au profit d’une collecte de fonds pour la bourse scolaire de l’école de Maple Street, qui a augmenté plus de 1.4 million de dollars depuis le début en 1998 de l'école privée. L'école s’engage à soutenir un tiers de ses étudiants financièrement, et durant l'année scolaire 2004-2005, 31 étudiants sur 96 inscrits à Maple Street ont reçut une aide financière.

Au fil des années, les demandes de bourse scolaire se sont accrus de presque le double que le taux d'inscription, et l'argent récolté pour des bourses maintient l'inscription du K-8 de Maple Street économiquement viable. Plusieurs des étudiants qui ont reçu les aides boursières n’ont pas seulement prospéré dans les environnements éducatifs trouvés là, ils ont poursuivi jusqu’aux plus grandes écoles supérieures et internats du pays.

L'école collecte des fonds pour les bourses scolaires par une multitude de moyens, y compris tenir des enchères bis-annuelles, subventions de soutien par des fondations et les visites de certains des meilleurs auteurs du pays (par le passé Norman Miller et George Plimpton furent invités). Le lecteur invité cette année s'avère justement être également être un bon ami d'Irving, qui a co- fondé l'école de Maple Street avec son épouse, Janet Turnbull Irving.

Par un accord particulier avec les Irving et l'école de Maple Street , on m'a accordé une entrevue rare et exclusive avec Irving et King l'après-midi de la collecte. Leur attachement à leur travail littéraire est assorti de leurs engagements aux fondations de charité. Ce fut pendant une œuvre de bienfaisance pour un auteur ami que les deux auteurs lièrent amitié.

Etant fan des deux auteurs, j'ai eu tâche facile à faire l’interview – asseyez vous, détendez vous, et laissez deux maîtres de l’art discuter de ce qu’ils avaient à l’esprit. La conversation s'est étendue des œuvres de charité aux manuscrits perdus et au métier de l'écriture.

SUR LES ORGANISMES DE CHARITE

John : Vous rappelez-vous les circonstances dans lesquelles nous nous sommes rencontré ?

Stephen : Et bien, je pense que c’était lorsque nous avons fait la lecture pour André Debus.

John : Exact. Un auteur nommé André Debus Sr, qui maintenant a deux fils, que j'ai connu en Iowa, s’arrêta sur la route pour aider un motocycliste, une nuit au milieu des années 80. Un motocycliste était tombé sur la route, et André essayait de mettre le motard en sécurité quand une voiture arriva et lui roula dessus. Il a perdu ses jambes, et j'ai découvert qu'il n'avait aucune assurance-maladie d’aucune sorte. Alors j'ai appelé un groupe d'écrivains de Nouvelle Angleterre et de la région nord-est, et demandé des personnes pour faire des lectures à Cambridge, Massachusetts, afin de collecter des fonds pour les dépenses médicales d'André. Stephen était l'un des auteurs que j'ai appelé, et nous avons fini par lire ensemble en hiver 1987.

Stephen : C'était marrant.

John : Mais nous correspondions avant cela. Votre fondation de charité n'est-elle pas maintenant liée au même principe ?

Stephen : Wavedancer. C’est ça, et c’est relié aux motos d'une certaine manière, aussi. Un de mes amis appelle les motos "engins de formation de résidents orthopédiques." L'homme qui lit "la tour sombre" sur cassette ; Franck Muller ("les loups de la Calla" lui est dédié ; il y est indiqué, "A Franck Muller, qui entend les voix dans ma tête"). Il a été dédié à Franck avant l'accident parce qu'il lisait les livres sur bande et c’est un génie. Le sujet est très bizarre, et Franck l'a toujours assuré - il a assuré les voix et était simplement parfait.

Quand je l'ai rencontré, il finissait "Différentes saisons." Les lectures pour celui-ci furent impeccables, et c'était le temps où les livres enregistrés (livres sur cassette) étaient petits et débutaient à peine. Il y avait une petite boutique à New York qui me demanda si je pouvais faire une interview avec Franck pour mettre à la fin d’une des cassettes, parce que c’était léger sur la dernière cassette.

Nous y sommes allé et nous sommes rencontré, et c’était un type formidable. Franck avait trouvé ce travail à NYU - il y avait une annonce affichée sur le tableau dans leur section art dramatique recherchant des lecteurs pour cette société débutante, les livres enregistrés.

Un des types qui aide maintenant à soutenir Franck est le gars qui a fondé cette compagnie, qui est actuellement sorti des affaires, a vendu ses actions en livres audio et s’est retiré millionnaire. Franck et moi nous sommes réunis avec nos familles pour le dîner de Thanksgiving il y a trois ans maintenant. Nous avons fait un repas merveilleux. Franck était jeune marié et avait une fillette de deux ans et son épouse venait juste de découvrir qu’elle était de nouveau enceinte. Franck raconta comment lui et son cousin projetaient de faire une virée à moto en Californie jusqu'à Reno et revenir.

Pendant le voyage à moto, Franck perdit la trace de son cousin le long d'une autoroute, et ils entrèrent dans un secteur où étaient installés des bornes en caoutchouc au milieu de la chaussée pour cause de travaux. Franck regarda par-dessus son épaule pour tenter d’apercevoir son cousin, et fonça dans ces pylônes. Il perdit le contrôle de sa moto à environ 55 milles à l'heure, et entra tête la première dans une butée de pont en ciment.

Son casque se fendit net en deux ; il a subit des dommages cérébraux catastrophiques. La personne suivant derrière lui s'avéra justement être un EMT (Techniciens médicaux et Paramédicaux de secours) conduisant un de leurs véhicules, et qui lui sauva la vie. Franck a eu un infarctus sur le bord de la route pendant qu'ils attendaient, et bien qu'il y ait survécu, il est endommagé de façon catastrophique. Il ne peut pas vraiment parler, il a un enfant qui a maintenant un an et une petite fille qui en a quatre, et il est juste… pas là.

Franck est en soins prolongés et rééducation en Caroline du nord. Il était dans un centre très coûteux en Californie, et il n'avait rien. Il fut l'un des meilleurs lecteurs au sommet de son art, mais il avait toujours $60.000 de dettes. À la fin de l'année, il avait $60.000-$70.000 de dette et ils devaient les impôts.

Le fait est, Franck n'est pas le seul dans cette situation. Il y a toutes sortes d'artistes : il y a des écrivains, des acteurs, et des interprètes qui n'ont aucune sorte de protection sociale ou quoi que ce soit, ainsi nous avons fondé la fondation Wavedancer pour aider. Wavedancer est le nom du voilier de Franck.

Nous avions une lecture à hôtel de ville à New York il y a deux ans quand moi-même, Pat Conroy, John Grisham et Peter Straub avons lu, et nous y avons collecté un bonne somme. En outre, les personnes les plus inattendues sont intervenues - un des grands partisans a été Jerry Jenkins, qui a co-écrit "Left Behind".

John voulait que je vienne lire à l'école de Maple Street, et je ne voulais pas de contrepartie. John a dit, "Je lirai pour vous, si vous lisez pour moi," ainsi suis-je en train d’essayer de réunir un groupe de personnes en novembre ou décembre, et j'ai du travaillé sur deux projets différents, sinon je l’aurais déjà fait. Si ce n'est pas cette année, John, ce sera l'année prochaine, et je vais vous soutenir.

John : J'ai promis de le faire , et je suis heureux de le faire. En plus de demander à Steve de faire ce programme de bourse, quand je fais les lectures publiques maintenant, je demande à avoir les chèques pour que ces événements soient utilisés à cette école pour le comité de bourse, pour les bourses des gosses. . .

Stephen : Il prend l'argent liquide sous la table.

John : Non, je le fais pas . Je pense qu’une des grandes choses, et il y a beaucoup de choses que j’aime au sujet de cette école, est qu’au cours des sept ans depuis son commencement, nous avons collecté plus de 1.4 million seulement pour les bourses. L'année dernière, nous avions un fond de bourse de 270.000$. Du début de l'école quand nous avions 36 enfants à maintenant où nous en avons 92, jusqu’à l'année prochaine quand nous en aurons 98, il y a toujours au moins un tiers de nos gosses qui bénéficient d’une bourse, et je penses que c’est essentiel pour une école indépendante.

Stephen : La chose la plus impressionnante a été dans la communauté d’assistance qui va de pair avec ce programme.

John : Particulièrement dans une petite communauté sans ces gosses boursiers, sans au moins un tiers de vos gosses recevant l'aide financière, vous n'avez pas la diversité dans vos étudiants que vous auriez autrement. Mais c’est aussi tellement agréable. Pouvoir dire dans n’importe quelle communauté que oui, nous représentons un brillant centre intellectuel, mais ce n'est pas une école élitiste. Si vous ne pouvez pas vous permettre de venir ici - il y a toujours un moyen de venir.

Stephen : Puisque c’est dans une petite communauté, vous tirez le meilleur parti de chaque dollar. En tant que quelqu'un qui s’est impliqué dans le œuvres de charité à travers des associations – nous en avons deux : La Fondation Stephen et Tabitha King, où nous travaillons beaucoup avec des bibliothèques, et la fondation Barking, qui s’occupe de toutes les bourses éducatives. Quelque chose comme ceci (les fonds de bourse d'école de Maple Street) est juste comme un verre d’eau fraîche.

John : Nos parents d’élèves sont également très impliqués. Nous avons beaucoup de voyages scolaires - comprenant la ville de Washington, et du Québec - et nos parents sont nos chauffeurs et chaperons pour ces voyages, ainsi c'est une bonne ambiance pour chacun. Si vous pouvez donner de l'argent, donnez de l'argent, si vous pouvez donner du temps, donnez du temps. L'école a été aussi agréable que tout livre que j'ai écrit, et cela dure depuis longtemps. C’est comme un long roman, et venir ici maintenant qu'il est fini et savoir que nous avons réuni l'argent et/ou les promesses pour payer le bâtiment est merveilleux.

Journal : John, votre dernier roman, "Jusqu'à ce que je vous trouve," sortira dans deux semaines.

John : Mi-Juillet.

Journal : Les premiers commentaires, d’après ce que j’ai entendu, ont été enthousiastes jusqu'ici. Avec un Oscar à votre actif, les gens ont-ils réclamé un scénario, ou attendez-vous de voir la réaction du public, et puis décider à partir de là ?

John : Si ce sera un film ou si je serai impliqué dans celui-ci, je ne pense pas que cela ait beaucoup de rapport avec la réaction au roman tellement cela dépend du déroulement des événements. Je suis beaucoup plus un micro manager que Steve. J'essaye - essai - de manier mes rôles et ce serait une offense à mon sens méticuleux que d’écrire un scénario pour ce roman alors que j'ai trois scénarios à divers degrés d'achèvement. Il me semble juste normal que l'un d'entre eux soit produit avant que je ne fasse l’adaptation d’un quatrième.

Stephen : Je peux comprendre cela totalement.

John : Bien que je voie le film qui est dans le nouveau roman, et mon producteur le voie aussi, et nous sommes très enthousiasmés à l’idée de ce que pourrait être ce film, il et seulement logique qu'au moins deux des trois scénarios qui sont très avancés - je préfère travailler sur l'un d'entre eux. L'un d'entre eux, l'adaptation "A Son of the Circus," est quelque chose sur laquelle j'ai travaillée pendant presque 15 ans. Ce qui est à peu près autant de temps que j'ai travaillé sur "The Cider House Rules" avant qu'il soit réalisé.

Si je devais l’estimer, la décision de faire ou ne pas faire un scénario pour le nouveau livre, je suis à une bonne année ou plus de prendre cette décision. En d'autres termes, le laisser aux mains de quelqu'un d'autre, ou le faire moi-même. Je ne pense pas que je vais prendre cette décision avant un moment, parce que j'ai trop l’embarras du choix sur quoi faire prochainement. Cela peut inclure un douzième roman, que j'ai pratiquement commencé avant celui que je viens de terminer. Il était au fond de ma tête depuis longtemps.

Stephen : Écris les tous les deux, John. Écris les tous les deux.
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Ben Mears
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyDim 17 Juil 2005 - 17:16

SUR L'ÉCRITURE

Journal : Vos deux modèles d'écriture sont très distincts. Votre évolution des personnages est tellement bien réfléchie. Ce sont également deux manières d’écrire complètement différentes.
Stephen, dans votre livre "Ecriture," vous dites que vous ne connaissez pas la fin d'une histoire quand vous commencez ; et que vous ne devriez pas connaître la fin lorsque vous commencez. John, votre style d'écriture est de commencer depuis la fin, et puis d’écrire le début.

Comment décririez-vous les changements dans vos styles au cours des années, tout en gardant le même style caractéristique bien connu ? Avez-vous senti votre personnalité d'écriture changer, en prenant de l’âge, au cours des différentes étapes de votre vie ?

Stephen : Je pense que je prends plus de soin maintenant qu’auparavant. C’est si facile en regard des outils, mais je suis devenu très méfiant à l’égard de la technologie : l'unité de traitement de texte, les ordinateurs dans mon métier le rendent facile pour les personnes qui ont tendance à se disperser. Les gens ont tendance à voir cela de l'extérieur, il y a des changements, et peut-être vous seulement changez autant. Peut-être avez vous juste atteint le point que vous espériez atteindre.

John : Je pense que je fais plus attention, aussi. J'ai toujours été un rédacteur, mais je pense davantage aux moyens de révision à chaque livre que j'écris. Je pense que j'apprends plus d'eux la manière de changer un roman de ce qu'il était dans la première ébauche. Je sens que je vieillis, ce que je retient c’est que j'avais l'habitude de penser que je choisissais le sujet sur lequel j’écris , mais j’ai l’impression que c’est le sujet qui m'a choisi.

Stephen : Exactement.

John : Je ressens une obsession. Je suis obsédé par quelque chose, et le livre devient quelque chose que je ne peux arrêter d’écrire. L'idée que j'ai réellement le libre choix en la matière est une sorte de… Je ne pense plus comme cela. Je reconnais qu'il y a une continuité dans mes obsessions, que les choses sur lesquelles j'écris au sens large sont répétées.

Steve et moi avons une amitié et une correspondance dans lesquelles nous voyons les choses dans un certain noir/gris. S'il y a quelque chose qui est semblable au sujet de notre écriture, c'est que nous devons probablement savoir ce qui dérange dans l’histoire avant que nous considérions qu'elle est intéressante à écrire. Si elle ne trouble personne, pourquoi l’écrire ? Pourquoi l’écrire, si elle ne tape pas sur les nerfs de quelqu'un ?

Nous pouvons nous y prendre de différentes façons, mais je pense que nous serions d’accord pour dire que nos raisons d’écrire de la fiction sont de toucher les gens émotionnellement et psychologiquement, pas intellectuellement. Vous ne pouvez pas écrire des romans aussi longs que la plupart de ceux de Steve et la plupart des miens, si l'histoire n'est pas meilleure à la page 400 qu'elle n’était à la page 40. Il doit y avoir quelque chose. . . un élan. Vous ne pouvez pas maintenir les lecteurs impliqués dans de longs romans s'il n'y a pas quelque chose dans ceux-ci qui continue à fasciner le lecteur. Un lecteur doit vouloir savoir ce qui va se passer, n’est-ce pas ?

Stephen : Oui. Il doit se lever et courir en plein milieu de la nuit - il doit vraiment le faire.

Journal : Vous avez tous les deux écrit de longs romans, mais pour les fans, ils n’ont pas été trop perçus. Les critiques tendent à les voir en tant que tels, les jugent au poids et les appellent des pavés. Les fans voient ces romans au même niveau que l'auteur ; ils s’empressent de lire le livre une fois que l'auteur les y introduit, et ils sont emballés par le roman.

Stephen : Une chose que j’aimerai voir se faire serait une analyse par ordinateur sur cette corrélation. J’aimerais voir la critique de, disons 2.000 romans, entrée dans un ordinateur et les corréler en termes de longueur de ces romans. Je suis sûr vous trouveriez que plus le roman est long, plus la critique globale de ces livres tend à être mauvaise.

John : Absolument.

Stephen : Mon idée est qu'un critique va être payé $75 pour passer en revue un livre s’il fait 400 pages, ou si c’est un Elmore Leonard de 225 pages, aussi finissent-ils sans aucun doute par pencher du côté "Chouette, celui-ci est beaucoup plus facile à rédiger!", parce que quand vous êtes critique, c'est un travail.

La lecture rend les choses différentes de ce qu'elles sont si vous êtes assis dans un avion, ou si vous êtes pris d'insomnie au milieu de la nuit et ne pouvez pas dormir, et vous voulez quelque chose qui vous tienne compagnie - vous voulez quelque chose qui va vous emmener ailleurs et vous envoûter.

Si vous faites de l'auto-stop au bord de la route, et que quelqu'un arrive et vous fait faire un tour en Rolls Royce, voilà de quoi faire un bon livre . J'ai vu à maintes reprises cette relation - "Un autre grand long roman, hein, M. King ? Hein, M. Irving ? Gribouillage, gribouillage, gribouillages !!"

John : Oui, et d’autres mots similaires sont employés pour nous deux : "décousu," "interminable." C'est juste un euphémisme pour : "plus long que j’aimerai."

Journal : C’est ce que j'ai du mal à comprendre. En tant que fans, c’est ce que nous voulons.

John : Le seul cas où mes lecteurs se sont jamais plaint a été la fois exceptionnelle où mon livre était plus court qu'habituellement. Ils disent, "quand allez-vous écrire un autre gros bouquin ? Le dernier était trop court." Je n'ai jamais reçu de plainte de lecteurs trouvant mes romans trop longs - les romans de Steve sont longs, mes romans sont longs.

Regardez les auteurs dans le monde entier, qui ont également un accueil très mitigé, grands nombres de lecteurs, mais des critiques très agressives : Salman Rushdie, Garcia Marquez, Umberto Eco. Leurs livres sont très exigeants et communément longs et menés par une intrigue. Pour le minimaliste d'aujourd'hui, les normes du modernisme, Steve et moi sommes une paire de conteurs du 19éme siècle. L’intrigue est dépréciée par les critiques presque autant que la longueur. Si un roman repose sur une intrigue, on dit qu’elle est tirée par les cheveux.

Stephen : Exact.

John : C'est les moyens habituels, lorsque vous entendez un critique dire d’une histoire qu’elle est ardue, pour dire en vérité, "je n'aime pas l’histoire."

Stephen : Un critique ne croira pas que vous puissiez être dans un aéroport à San Diego et rencontrer dans cet aéroport un ami d'enfance que vous n'avez pas vu depuis 25 ans, parce que les critiques, apparemment, n'ont pas des amis. C'est la seule chose que je peux me dire.

John : Oui, c’est également au delà de leur imagination de penser à une coïncidence.

Stephen : Je crois bien, oui. Ils n'aiment pas les coïncidences.

Stephen : Je suis une chose en tant qu'écrivain : le livre est le patron. L'écrivain a deux choix quand il s'assied, il peut aussi bien dire, "je suis le patron de cette chose," dans ce cas, il va se faire botter le derrière, ou il peut dire, "je vais laisser ce livre être le patron et raconter l'histoire qu'il va raconter."

Mon travail quand je m'assieds consiste à me dire, "voyons où cette histoire mène, et n’essaie pas de micro-contrôler et de décréter, ''voilà où je veux qu'elle aille." Je m'assieds et j'ai une idée de ce que l’histoire va être. Parfois c'est de cette façon qu’elle sera, parfois pas. Je suis heureux si je me retrouve quelque part dans un hurlement ou un cri où je pensais me retrouver. C'est comme cela que ça marche habituellement.

Mais cela étant, vous êtes censé jouer franc-jeu, vous n’êtes pas censé forcer vos personnages autour. Je ne suis pas le genre de personne qui fait cela dans la vraie vie. Je n'essaye pas de contrôler les gens, aussi je laisse plutôt les personnages faire assez ce qu'ils veulent. Comme lecteur, John m'a donné son nouveau livre. Je l'ai posé sur la table de nuit à la maison, c'est l’été et je ne peux pas attendre pour entrer dans cette chose - elle est géniale. Elle va au bout par moment.

Journal : Il y a une certaine tendance chez les fans de n'importe quel écrivain, dès qu'ils se procurent le nouveau roman de l'auteur, il y a une envie pressante de vouloir se plonger dedans, pour explorer toutes les possibilités du livre. Quand vous avez commencé pour la première fois "la série de la tour sombre", vous avez dit que vous vous sentiez comme si vous étiez aux commandes d’une…

Stephen : Grande machine.

Journal : Oui, la grande machine, et vous ne saviez pas si vous l'aviez en vous pour la finir.

Stephen : Je ne savais pas dans quelles directions cela pouvait aller. Vous voulez connaître une des meilleures choses qui me soit jamais arrivée ? Quand j'ai commencé cette série, j'étais très jeune, et je trouvais toujours les moyens de faire des choses, et j'avais un premier jet de cette série de livres, et je l'ai perdue. Je suis vraiment heureux. Je suis vraiment heureux de l'avoir perdue. L’histoire s’est débrouillée elle-même pour traîner en longueur.

John : J'ai perdu la moitié d'un roman par le passé. La moitié d'un roman que j’avais déjà écrit.

Stephen : Sortez.

John : Oui, j'ai perdu la moitié "The Water Method Man," mon deuxième roman. Je l'avais emmené avec moi en Europe, espérant que si le film que partais écrire en Europe, tombait à l’eau, ou s'il ne m'occupait pas tout le long de l’année, j'aurais ce roman à reprendre.

Mais le film a pris la majeure partie de l'année, et avant de rentrer chez moi, de retour aux Etats-Unis, j'ai pris le roman - j'ai ramené la moitié " The Water Method Man " aux Etats-Unis avec moi, et la malle fut égarée.

Stephen : Oh mon dieu.

John : Vous savez, les gens continuaient à dire, "nous le retrouverons, nous retrouvons toujours ces choses." Il fut perdu dans l'expédition (nous prenions des bateaux à l’époque). Ainsi j'ai recommencé ce roman, et je ne l'avais pas lu en presque une année. J'avais toujours l’idée au fond mon esprit qu'il serait toujours beaucoup plus mauvais que ce que j'avais précédemment écrit.

Des mois plus tard, la malle est revenu, il y avait le roman, et ce que j’avais nouvellement écrit était cent fois mieux. J'ai juste commencé à lire les vieilles pages, et n'ai même pas fini de les lire ; J'ai juste su que c'était mauvais.

Stephen : Oui, quand les unités de traitement de texte sont arrivées, à l’époque de Simetierre. Je l'avais écrit, et il avait une fin très plate. Je ne peux pas me rappeler ce qu'était la fin, mais mon rédacteur pour Doubleday était parti, et Sam Vaughn lui avait succédé. J'ai fait le livre avec Doubleday, l’ai terminé pour sortir un tas de livres hors de ce truc d'auteurs/management - ils l'avaient fondamentalement transformée en une servitude involontaire pour de jeunes auteurs. Ils récriraient essentiellement les contrats et j'obtiendrais mon argent des premiers livres.

Sam a dit, "Feriez-vous une nouvelle fin ? Quelque chose de plus percutant ?"

J'ai dit, "Et si l'épouse de Louis Creed, au lieu de juste mourir, on la mettait dans le cimetière des animaux et qu’elle revienne, et ce serait la fin?"

Sam répondit, "Cela semble formidable!"

Je lui ai dit, "Laissez-moi écrire ça pour vous, et cela me prendra environ une heure et demie." Je l'écrivis, et c'était long d’environ neuf pages. Et puis, j'ai pressé la mauvaise touche, et au lieu de la presser ENREGISTRER, j'ai pressé SUPPRIMER, et j'ai envoyé tout au paradis des données. J'ai crié, et ce fut la seule fois où j'ai fait cela. Mon épouse est venue courant. Elle pensait que je m’étais tranché la main (ce que j’avais l’impression de ressentir). Alors je l'ai écrite à nouveau, et la deuxième fois que je l'ai écrite, j'ai pensé que c'était beaucoup mieux. Mais alors je n'avais rien pour comparer, aussi peut-être le premier était-il génial.

John : Le roman que Ken Kesey écrivit entre "Vol au-dessus d’un nid de coucous" et "Sometimes a Great Notion" était dans la maisonnette d'écriture de Ken sur le fleuve Puget Sound, et son épouse a jeté le roman dans la Sound. Je devine qu'elle était en désaccord avec des choses qu'il avait faites.

Stephen : J’imagine que oui .

John : Elle est entrée dans la cabane d'écriture et a jeté le roman entier dans le Sound, alors Kesey a dit, '"Oh bien," et commença d’écrire un autre roman, et il n'a jamais réécrit ce roman qui a fini dans le Puget Sound.

Stephen : Je suis allé en Floride lorsque j'écrivais "Dead Zone," et j'avais une copie du manuscrit (c’était au temps de la machine à écrire) et j’avais le sac bleu de voyage de mon épouse. Nous sommes rentrés, et le sac de voyage fut mis à la consigne (je ne peux me rappeler pourquoi), mais il ressemblait à un sac de bowling. Quand je l'ai sorti à la maison et ouvert, mon manuscrit s’était transformé en avocat. C'était un avocat. J'ai dit à mon épouse, "Que diable est-ce?" J'ai regardé au bas de la petite étiquette, et c’était le sac identique de quelqu'un d'autre - ce n'était pas le mien.

J'ai appelé le numéro, et une petite vieille dame me répondit, et elle a dit, "Oui, j'ai un sac qui a un tas d'écritures et de papiers." J'ai demandé, "Pourrions nous faire l'échange?" Et elle a dit, "Et bien, je ne sors jamais s'il y a un flocon de neige."

Finalement, c’était un jour où il n'y avait pas un flocon de neige, aussi avons nous fait l'échange. J'ai récupéré mon manuscrit. Elle a pris ses avocats et j'ai pris mon manuscrit.



En espérant la parution de beaucoup de futurs manuscrits de John Irving et de Stephen King. Longues journées et nuits plaisantes, messieurs.



Voilà! Je ne suis pas sûr que le Puget Sound soit un fleuve, mais bon! Laughing
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Carrie
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyDim 17 Juil 2005 - 20:50

Merci beaucoup beaucoup beaucoup Ben Mears, c'est vraiment super, super, super happy05
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herbertwest
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyLun 18 Juil 2005 - 19:04

merci.

je vais surement la mettre sur mon forum dès que j'aurai le temps.
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyLun 18 Juil 2005 - 23:42

Ah oui, grand merci saï, beaucoup plus facile comme ça... happy30
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runnsborg
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyMar 19 Juil 2005 - 10:08

Merci, ce fut extrêmement intéressant.
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ddelph
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyMar 19 Juil 2005 - 15:50

Merci Ben, c'est très intéressant comme interview !!
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyMar 19 Juil 2005 - 18:36

Un grand merci à toi, pour le temps et le travail que la traduction t'a demandé.
C'est super Ben Mears!!!! happy30
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Misquamacus
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MessageSujet: Re: SK's interviewed by john irving.   SK's interviewed by john irving. EmptyMar 26 Juil 2005 - 13:23

J'avais lu quelque part que King aimait beaucoup Irving. C'est aussi mon cas. "Le monde selon Garp" est un de mes livres préférés. La façon qu'à Irving de passer du rire aux larmes est absolument prodigieuse.
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